Un week-end (14 & 15 mars 2015) avec peu de temps libre en raison de nos engagements professionnels. Ainsi donc nous n’avions pas vraiment la place pour une grosse série de films. Cependant hors de question de ne pas se faire des plaisirs cinématographiques. Nous avons donc opté pour un week-end « Sherlock Holmes » avec les deux films du réalisateur Guy Ritchie et avec Robert Downey Jr. et Jude Law dans les rôles principaux.
« Sherlock Holmes » (2009)
Aucune énigme ne résiste longtemps à Sherlock Holmes. Flanqué de son fidèle ami le Docteur John Watson, l’intrépide et légendaire détective traque sans relâche les criminels de tous poils. Ses armes : un sens aigu de l’observation et de la déduction, une érudition et une curiosité tous azimuts , accessoirement, une droite redoutable. Après qu’une série de meurtres rituels a ensanglanté Londres, Holmes et Watson réussissent à intercepter le coupable : Lord Blackwood. À l’approche de son éxécution, ce sinistre adepte de la magie noire annonce qu’il reviendra du royaume des morts pour exercer la plus terrible des vengeances. La panique s’empare de la ville après l’apparente résurrection de Blackwood…
« Sherlock Holmes 2 : Jeu d’ombres » (2011)
Partout dans le monde, la presse s’enflamme : on apprend ainsi qu’en Inde un magnat du coton est ruiné par un scandale, ou qu’en Chine un trafiquant d’opium est décédé, en apparence, d’une overdose, ou encore que des attentats se sont produits à Strasbourg et à Vienne et qu’aux Etats-Unis, un baron de l’acier vient de mourir. Personne ne voit le lien entre ces événements qui semblent sans rapport, hormis le grand Sherlock Holmes qui y discerne la même volonté maléfique de semer la mort et la destruction. Et ces crimes portent tous la marque du sinistre Moriarty. Tandis que leur enquête les mène en France, en Allemagne et en Suisse, Holmes et Watson prennent de plus en plus de risques. Mais Moriarty a systématiquement un coup d’avance et semble tout près d’atteindre son objectif. S’il y parvient, non seulement sa fortune et son pouvoir seront sans limite, mais le cours de l’Histoire pourrait bien en être changé à jamais…
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